Dimanche, nous, citoyens français, avons élu un nouveau Président de la République Française. Il s'agit bien sûr de François Hollande, membre du Parti Socialiste. (Je ne vous apprends rien.)
D'un point de vue strictement personnel, en tant que simple citoyen, je suis assez content de ce résultat. J'attends de notre nouveau président beaucoup d'avancées et de changement, non pas en termes déconomie, d'emploi ou de sécurité, mais en termes de société, déducation et de vie commune. Je considère que les 5 dernières années ont été nuisibles pour la Fraternité. Jespère que notre nouveau président et son gouvernement feront en sorte de rappeler aux habitants de la France qu'ils sont avant tout des êtres humains et non pas des noirs ou des pauvres ou des homosexuels ou des chômeurs ou des blancs riches en bonne santé avec un travail, si vous voyez ce que je veux dire. Nous avons été séparés. La France en tant que nation a été fracturée. Le changement que j'appelle actuellement est la guérison de cette fracture. Je nespère pas grand chose en termes déconomie, car je sais que, pour cela, nous ne sommes plus seuls. La France est liée à de nombreux autres pays au travers du commerce mondial et des traités inter-nationaux. Le président et son gouvernement n'auront pas les coudées franches pour apporter des changement (quand bien même ils voudraient le faire).
En tant que membre du Parti Pirate, je reste sur mes gardes. Lors de sa campagne, François Hollande s'est très peu prononcé sur les sujets qui nous préoccupent. Et quand il s'est prononcé, cétait soit pas vraiment clair, soit complètement opposé à nos idées. Je vais donc continuer à me battre, et je pense que mes collègues Pirates feront de même, pour que, primo, le parti pirate puisse envoyer des représentants à l'Assemblée Nationale; deuxio, le(s) gouvernement(s) de ces 5 prochaines années prenne(nt) conscience des nouveaux concepts et problèmes engendrés par les nouvelles technologies, en particulier au niveau de la Liberté. D'un autre coté, notre nouveau président peut difficilement faire pire que le précédent. Donc même si je continue à surveiller, je suis bien moins inquiet depuis lélection de dimanche.
En tout cas, nous sommes présents et nous allons le rester. En espérant pouvoir travailler avec le gouvernement, cette fois-ci.